Visites et rencontres
Les rencontres ont lieu sur le plateau après la représentation, en bord de scène ou dans nos séances au dojo.
Rencontre avec l’équipe de L’Epreuve de Marivaux, par Clément Hervieu-Léger, au lendemain de la représentation au Théâtre de Caen
Rencontre avec l’équipe des Mains de Camille avec la Cie les Anges au plafond, sur le plateau de Ifs, après la représentation.
Accueil dans notre salle, du metteur en scène Joris Mathieu au lendemain de la représentation d’Urbik Orbik
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Visite du CDN - Théâtre d’Hérouville en 2013
Chaque année, des rencontres avec des professionnels ponctuent la saison : des metteurs en scène, des comédiens, des scénographes viennent à notre rencontre, en lien avec les spectacles que nous allons voir.
Une visite de la Comédie de Caen est également prévue une fois dans le cylce. A ce propos, mardi 8 décembre, nous avons découvet les ateliers de création (costumes et de décors) et parcouru, grâce à Camille, les recoins secrets d’un envers du décor dont nous ne soupçionnions pas les trésors…
Pour les photos, c’est par ici :
Le Mercredi 9 mars, nous sommes venus à la rencontre de la Compagnie « Sans soucis » pour la pièce : Il faudra bien un jour que le ciel s’éclaircisse afin de déambuler sur la scène d’Hérouville et y décourvrir le décor et les marionnettes du spectacle. On peut voir les photos ici :
Des sorties à Paris sont également programmées au moins une fois au cours du cycle de 3 ans. C’était le cas l’an dernier à la Comédie-Française.
LUCRECE EN MAJESTE
JUIN 2015 - LUCRECE ET GUILLAUME A LA COMEDIE-FRANCAISE
Le 2 juin, départ pour Paris : après le Palais de la Découverte et le Musée d’Orsay, le point d’orgue de la journée se situe, bien entendu, sur un plateau.
Celui de la Comédie-Française pour nous servir la monstruosité incandescente d’une Lucrèce interprétée par l’irrésistible Guillaume Gallienne.
Après une exposition statique posée par les princes de Vénétie, l'énergie de la mise en scène de Podalydès se déploie avec l’arrivée d'un Guillaume en majesté, torse nu, se recouvrant de la robe de l'empoisonneuse comme pour exhiber la monstruosité d’un être qui endosse progressivement les attributs de la féminité.
La maternité éclôt ainsi confusément dans ce corps qui abrite le goût funeste pour l'arsenic et le sang.
Aux côtés d’un Christian Hecq magnifique dans le rôle du nébuleux Gubetta et d’un duc campé par Thierry Hancisse, aux prises avec une passion torturée et touchante pour la femme-monstre, Guillaume et ses garçons nous servent à la table du Français une composition magistrale !